Le point sur le congé pathologique Grossesse

Donner la vie est un pouvoir que mère nature a donné aux femmes. Mais la grossesse aboutissant à un accouchement est un long processus complexe qui nécessite de l’attention. Cela demande beaucoup d’efforts à la femme, la rend faible. Il est donc indispensable pour la femme enceinte de savoir se ménager. La grossesse est encore plus délicate quand il s’agit de femmes fonctionnaires. Dans ce cas, le Législateur a prévu le congé de maternité. Cette période permet à la femme en état de grossesse de pouvoir se reposer. Mais il existe des situations particulières qui nécessitent plus de repos pour une femme enceinte. Dans ce cas, le congé pathologique est celui est requis. Avec cet article, vous saurez l’essentiel sur le congé pathologique Grossesse.

Les congés pour raisons de santé

Un congé est une période pendant laquelle le travail est interrompu et l’employé doit s’absenter de son lieu de travail sans perdre son statut. Il peut être dû à l’occasion d’une fête ou d’un évènement particulier. Mais il existe aussi des congés pour raisons de santé car, un employé en mauvais état de santé ne peut pas fournir le rendement attendu de lui. Ainsi, il existe le congé maladie, le congé maternité et le congé pathologique. Tous ces congés sont accordés à tout salarié homme ou femme qui ne se sent pas en mesure d’exercer pleinement ses fonctions en raison de son état de santé. Mais les congés de maternité et pathologique Grossesse sont uniquement accordés aux femmes. Le Législateur leur a prévu ces jours de repos en raison de la délicatesse de l’état de grossesse. Le congé maternité s’étale sur deux périodes, la première avant l’accouchement et la seconde après l’accouchement.

Qu’est-ce que le congé pathologique Grossesse ?

En dehors du congé maternité, le congé pathologique s’accorde en cas de grossesse difficile. C’est une période de repos qui permet une augmentation des chances de mener une grossesse à terme. Il est accordé lorsque le médecin constate chez sa patiente une grossesse à risques ou qui annonce des complications. Divers ordres peuvent être susceptibles d’un congé pathologique notamment un cas de diabète gestationnel, l’hypertension, un risque d’accouchement prématuré, une menace de fausse couche ou autres situation menaçant la santé de la femme. Le médecin traitant peut donc, dans ces cas, prescrire un congé pathologique prénatal. Ce congé est prévu bien avant le début du congé maternité qui commence 6 semaines avant le terme de la grossesse. Ce congé dure 14 jours consécutifs ou non et ne peut excéder cette durée.